mardi, août 30, 2016

Mon oreille sur sa poitrine métronome, à l'instant où ses doigts jouent de ma peau, nouent mon ventre et mêlent les cordes de mon cerveau...

... je retrouve un répertoire oublié de bouts de notes entrevechées et l'envie, peut-être, de lui faire aimer les rythmes de la pluie.



mercredi, août 10, 2016

Il faut habituer nos pupilles à la nuit. Voir. Résister.

Poussières en feu, chute libre toute en lumière: l'idée de ses lèvres me perséide le corps, mais il se trace filant dans ma nuit, brisé.

Fais un voeu pour moi. J'ai fermé les yeux.

I'm sorry.