Longue nuit
Je suis une plage sous les étoiles
du sable froid, mais libre
a quelques grains tassé sous tes pieds inquisiteurs
mais qui t’as permis de faire fuir la mer
ce sont mes larmes qui laissent la rosée du matin
insuffisantes pour venir effacer tes pas.
Oh oui, pour la première fois, je te déteste,
pour mieux fermer les yeux
on a pas le droit, mais toi tu les as tout pris.
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