Tes genoux douloureux dans les morceaux coupants de ta vie
prends moi verre éclaté dans tes mains coulantes
colle moi avec tes autres couleurs qui laissent passer la lumière
brisée et coupante.
Aime nous de tes doigts meurtris
fais nous vitrail sacré choisis de tes jours expirés
scène d'avenir posée sur les fenêtres d'une église
Au travers tes larmes, travaille moi, ou jette moi
objet de ta coupure, de tes sacres.
La lumière passera, ou elle passera.
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2 commentaires:
Vertige, toujours presente, quel bonheur de te lire !!
Ça fait longtemps, mon ami...
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